Association Faune & Flore de l'Orne (AFFO)
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Biotope
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Bureau ENS (Conseil départemental de l'Orne)
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CHOLET Joachim
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CPIE Collines normandes
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Conservatoire d'espaces naturels de Midi-Pyrénées (CEN MP)
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DELCLOY Cédric
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Groupe Ornithologique des Avaloirs
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Habitants-bénévoles
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LE GOÏC Matthieu
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LE MARQUER Alain
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LPO Sarthe
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Mayenne Nature Environnement (MNE)
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PNR Normandie-Maine
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PNR du Perche
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Peter Stallegger (Consultant Environnement)
Cartographie issue du Parc Normandie-Maine - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes sur le territoire du Parc : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
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Taille/poids : Les adultes mesurent en général moins d’une vingtaine de centimètres de longueur totale pour un poids maximum n’excédant pas 9 g.
Diagnose : Petit lézard avec une longue queue fine ; tête peu distincte du cou ; présence de quatre membres bien visibles munis de griffes aux doigts et orteils. La peau est constituée sur le dos d’écailles finement perlées à peine visibles à l’œil nu. La coloration globale est marron plus ou moins prononcé à gris, avec chez le ♂ des marbrures sombres sur les flancs et souvent également sur le dos. Chez les femelles, les marbrures sont moins marquées et laissent place à des lignes claires plus ou moins bien dessinées. Le ventre est toujours blanchâtre chez les femelles et très souvent chez les mâles. Certains mâles présentent toutefois une coloration ventrale différente, allant du jaune au rouge brique en passant par l’orange.
Détermination : La détermination sur photographie est toujours possible, mais reste délicate pour le non spécialiste. La prise en compte de plusieurs critères peut s’avérer nécessaire.
Espèces proches : Peut être confondu avec le Lézard vivipare. La présence d’une tache noire au niveau de l’épaule caractérise en général le Lézard des murailles. Peut être également confondue avec le Lézard catalan (espèce commune) et les trois espèces de lézards des Pyrénées (toutes rares et localisées). C’est avec le Lézard catalan que le risque de confusion est le plus élevé.
Période d’observation : Cette espèce est diurne et active de février-mars à octobre-novembre.
Biologie-éthologie : La période de reproduction débute au mois d’avril pour cette espèce ovipare ; une ♀ pond entre 2 et 9 œufs selon sa taille, jusqu’à deux à trois fois par ans dans les régions les plus méridionales. Le Lézard des murailles consomme essentiellement de petits arthropodes (insectes, araignées, mille-pattes), les jeunes sont très friands des petites araignées.
Biogéographie et écologie : Espèce méridionale étendue, répartie depuis le nord de l’Espagne, la France et ses pays limitrophes à l’est, faiblement au nord, puis profondément jusque dans les Balkans au sud, en passant par l’Italie. Très ubiquiste et commensale de l’homme, cette espèce se rencontre dans une multitude de milieux naturels ou anthropiques depuis le niveau de la mer jusque 2500 m d’altitude, avec cependant une préférence pour les substrats solides des milieux rocailleux et ensoleillées. En période de froid, elle trouve refuge dans toute sorte d’anfractuosités, des trous de vieux murs, etc.
Référence : Vacher, J.-P. & Geniez, M. 2009. Les Reptiles de France, Belgique, Luxembourg et Suisse. Collection Parthénope. Biotope, Mèze. 544 pp.
B1 : Dunes côtières et rivages sableux C3 : Zones littorales des eaux de surface continentales E1 : Pelouses sèches E5 : Ourlets, clairières forestières et peuplements de grandes herbacées non graminoïdes F6 : Garrigues FA : Haies H2 : Éboulis H3 : Falaises continentales, pavements rocheux et affleurements rocheux I1 : Cultures et jardins maraîchers I2 : Zones cultivées des jardins et des parcs J1 : Bâtiments des villes et des villages J2 : Constructions à faible densité J3 : Sites industriels d'extraction J4 : Réseaux de transport et autres zones de construction à surface dure J6 : Dépôts de déchets X22 : Petits jardins non domestiques des centres-villes X23 : Grands jardins non domestiques X24 : Jardins domestiques des villes et des centres-villes X25 : Jardins domestiques des villages et des périphéries urbaines
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Répartition mondiale actuelle
Cartographie issue du GBIF (2021) - Avertissement : les données visualisables sont issues d'une recherche du taxon dans la base du GBIF : ce résultat peut être imparfait. Ces données reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau mondial : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.