• 410
    observations

  • 71
    communes

  • 21
    sources

  • Première observation
    1980

  • Dernière observation
    2024
Association Faune & Flore de l'Orne (AFFO) - Bureau ENS (Conseil départemental de l'Orne) - Bureaux d'études & consultants - CHOLET Joachim - CPIE Collines normandes - Conservatoire d'espaces naturels de Midi-Pyrénées (CEN MP) - DELCLOY Cédric - Eole Champagne Conlinoise - Groupe Ornithologique Normand (GONm) - Habitants-bénévoles - LE GOÏC Matthieu - LE MARQUER Alain - Mayenne Nature Environnement (MNE) - Muséum national d'Histoire naturelle (MNHN) - Noé (association de défense de l'environnement) - Office Français de la Biodiversité (OFB) - PNR Normandie-Maine - Parc Éolien des Avaloirs - Peter Stallegger (Consultant Environnement) - UMS PatriNat (OFB-CNRS-MNHN) - Vigie Nature

Cartographie issue du Parc Normandie-Maine - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes sur le territoire du Parc : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives. En savoir plus sur les données : | et sur les partenaires : .

Informations sur l'espèce

Taille/poids :
Longueur totale : 27 à 28 cm. Poids : 100 à 150 g.

Diagnose :
C’est la plus grosse grive d’Europe. Le dessus est gris brun pâle, la poitrine, le ventre et les flancs sont blanchâtres, très fortement marqués de taches noires. A l’envol, les coins de la queue sont blancs. Le chant, lent et mélodieux, est une série de courtes phrases répétées. Le cri le plus fréquent, caractéristique de l’espèce, est un son de crécelle appuyé et qui s’entend de loin.

Détermination :
Simple. Facile sur photo.

Espèces proches :
La Grive draine ressemble à la Grive musicienne Turdus philomelos mais s’en distingue aisément par la taille nettement plus forte ainsi que par la couleur des couvertures sous-alaires qui sont roussâtres chez la Grive musicienne et blanches chez la Grive draine.

Période d’observation :
Toute l'année.

Biologie-éthologie :
La Grive draine a un régime mixte en toutes saisons. Parmi les invertébrés consommés, les coléoptères occupent la première place, suivi des vers de terre, des escargots et des limaces. Elle consomme aussi d’importantes quantités de matières végétales, notamment des fruits et graines. En hiver, elle est connue pour être friande des baies du gui dont elle est l’un des principaux disséminateurs.

Biogéographie et écologie :
La répartition mondiale de la Grive draine s’étend de la Grande-Bretagne au lac Baïkal, à travers l’Europe mais aussi sur les reliefs du Maghreb. L'espèce recherche les boisements clairs de feuillus, les alternances de bosquets et d’espaces ouverts, les lisières forestières, les boisements rivulaires, les grands parcs urbains, les vieilles forêts et les vergers dans les régions de plaines ou de collines. A plus haute altitude, elle peuple aussi les forêts de résineux de montagne.

Source : fiche descriptive, INPN
G1 : Forêts de feuillus caducifoliés
G2 : Forêts de feuillus sempervirents
G3 : Forêts de conifères
G5 : Alignements d'arbres, petits bois anthropiques, boisements récemment abattus, stades initiaux de boisements et taillis
X11 : Grands parcs

Source : Habitat(s) lié(s) au taxon - Habref (EUNIS 2012), INPN

Répartition actuelle en France métropolitaine

Cartographie issue de l'INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.

Répartition mondiale actuelle

Cartographie issue du GBIF (2021) - Avertissement : les données visualisables sont issues d'une recherche du taxon dans la base du GBIF : ce résultat peut être imparfait. Ces données reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau mondial : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.

Turdus viscivorus deichleri Erlanger, 1897
Turdus viscivorus reiseri Schiebel, 1911
Turdus viscivorus viscivorus Linnaeus, 1758

Observations mensuelles

Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.