Cétoine dorée (la)

Cetonia aurata (Linnaeus, 1758)

Classe : Insecta Ordre : Coleoptera Famille : Scarabaeidae Sous-Famille : Cetoniinae Tribu : Cetoniini Genre : Cetonia

  • 123
    observations

  • 46
    communes

  • 11
    sources

  • Première observation
    1988

  • Dernière observation
    2024
Association Faune & Flore de l'Orne (AFFO) - Bureau ENS (Conseil départemental de l'Orne) - CPIE Collines normandes - Conservatoire d'espaces naturels des Pays de la Loire (CEN PDL) - DELCLOY Cédric - GRoupe d'ETude des Invertébrés Armoricains (GRETIA) - Groupe Ornithologique des Avaloirs - Habitants-bénévoles - LUTRAND Christophe - PNR Normandie-Maine - Peter Stallegger (Consultant Environnement)

Cartographie issue du Parc Normandie-Maine - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes sur le territoire du Parc : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives. En savoir plus sur les données : | et sur les partenaires : .

Informations sur l'espèce

Taille : 14-21 mm

Diagnose :
Corps large, généralement vert métallique, avec des taches blanches formant plus ou moins des lignes dans la moitié apicale des élytres. Pronotum quasiment sans ponctuation dans la partie médiane. Saillie mésosternale globuleuse. Dessous pubescent. Le ♂ présente une dépression longitudinale médiane nette sur l'abdomen. Nombreuses variétés de coloration, du vert au rouge cuivreux, jusqu'au bleu et au noir, en particulier chez la sous-espèce pisana présente en Corse et dans le Sud-Est de la France.

Détermination : Simple sauf en Corse.

Espèces proches :
En Corse, elle cohabite avec Cetonia carthami : cette dernière espèce présente une ponctuation homogène sur le pronotum et une macule blanche près du calus apical des élytres. Sur la continent, elle peut éventuellement être confondue avec des formes verdâtres de Protaetia cuprea bourgini qui présente cependant une stature plus allongée, une couleur bronze peu métallique et une saillie mésosternale aplatie.

Période d’observation :
De mars à octobre, plus commune de mai à juillet.

Biologie-éthologie :
Adultes diurnes et floricoles, en particuliers sur les fleurs blanches d'arbustes ; sur les fruits murs et les plaies des arbres (attirés par les pièges aériens). La larve se développe dans les accumulations de matière organique d'origine végétale : composts, les tas de feuilles ; dans le terreau et bois décomposé des cavités d'arbres feuillus ainsi qu'au contact entre le bois mort et le sol (espèce saproxylique facultative). Cycle larvaire d'environ une année, l'adulte émerge de sa coque en fin d'été, hiverne et peut être actif dès le début du printemps.

Biogéographie et écologie :
Très large répartition en Europe et Asie tempérée, avec de nombreuses sous-espèces. Espèce généraliste, présente dans quasiment tous les milieux : jardins urbains, forêts, bocages, garrigues etc. Commune à très commune partout en France.

Source : fiche descriptive, INPN
Non renseigné pour le moment

Répartition actuelle en France métropolitaine

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Répartition mondiale actuelle

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Scarabaeus auratus Linnaeus, 1758

Observations mensuelles

Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.