• 158
    observations

  • 56
    communes

  • 17
    sources

  • Première observation
    1970

  • Dernière observation
    2024
Association Faune & Flore de l'Orne (AFFO) - Bureau ENS (Conseil départemental de l'Orne) - CHOLET Joachim - CPIE Collines normandes - DELCLOY Cédric - Direction interdépartementale des routes Ouest (DIR Ouest) - Fauna Flora - Groupe Mammalogique Normand (GMN) - Habitants-bénévoles - LE GOÏC Matthieu - LE MARQUER Alain - LPO Sarthe - Mayenne Nature Environnement (MNE) - PNR Normandie-Maine - Parc Éolien des Avaloirs - SPIROUX Philipe - UMS PatriNat (OFB-CNRS-MNHN)

Cartographie issue du Parc Normandie-Maine - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes sur le territoire du Parc : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives. En savoir plus sur les données : | et sur les partenaires : .

Informations sur l'espèce

Diagnose :
Longueur 45 cm ; poids 2 kg. Lagomorphe au pelage gris-brun sur le dessus, plus clair dans les parties inférieures. Les oreilles sont longues mais plus courtes que la tête. Les pattes sont allongées. La queue est blanche et bien visible lorsque les individus prennent la fuite.

Facilité d'identification :
Simple.

Confusions possibles :
La confusion est possible avec les lièvres mais ces derniers sont de taille plus importante. Ils présentent des pattes arrières plus développées. Les oreilles des lièvres sont plus longues que la tête et se terminent par une pointe sombre.

Répartition générale :
Autrefois bien représenté en Afrique du nord et Europe de l’ouest, le Lapin de garenne a aujourd’hui fortement régressé des suites de l’introduction du virus de la myxomatose. Il est aujourd’hui considéré comme quasi menacé au niveau national.

Habitat et biologie :
Le Lapin affectionne les milieux semi-ouverts où il trouve des zones de refuges et d’alimentation. Il vit en groupes qui comptent parfois plusieurs familles. Il affectionne les terrains meubles où il creuse ses garennes qui présentent souvent de nombreuses entrées. Les femelles mettent bas de 4 à 12 lapereaux et ceci jusqu’à 5 fois par an entre le mois de mars et septembre. Lors des fuites, le Lapin de garenne peut ponctuer sa course par de rapides changements de direction et sa vitesse de pointe peut atteindre 38 km/h.

Source : fiche descriptive, INPN
Non renseigné pour le moment

Répartition actuelle en France métropolitaine

Cartographie issue de l'INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.

Répartition mondiale actuelle

Cartographie issue du GBIF (2021) - Avertissement : les données visualisables sont issues d'une recherche du taxon dans la base du GBIF : ce résultat peut être imparfait. Ces données reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau mondial : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.

Lepus cuniculus Linnaeus, 1758
Oryctogalus fodiens
Oryctolagus cnossius
Oryctolagus cuniculus borkumensis

Observations mensuelles

Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.