• 290
    observations

  • 71
    communes

  • 18
    sources

  • Première observation
    1980

  • Dernière observation
    2024
Association Faune & Flore de l'Orne (AFFO) - Biotope - Bureau ENS (Conseil départemental de l'Orne) - CHOLET Joachim - Conservatoire d'espaces naturels de Midi-Pyrénées (CEN MP) - DELCLOY Cédric - Groupe Ornithologique Normand (GONm) - Groupe Ornithologique des Avaloirs - Habitants-bénévoles - LE GOÏC Matthieu - LE MARQUER Alain - LPO Sarthe - Mayenne Nature Environnement (MNE) - Muséum national d'Histoire naturelle (MNHN) - PNR Normandie-Maine - Peter Stallegger (Consultant Environnement) - SPIROUX Philipe - UMS PatriNat (OFB-CNRS-MNHN)

Cartographie issue du Parc Normandie-Maine - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes sur le territoire du Parc : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives. En savoir plus sur les données : | et sur les partenaires : .

Informations sur l'espèce

Longueur 14,5 cm, envergure 23-26 cm, poids moyen 16 g.

Ce petit passereau était à l’origine inféodé aux habitats naturels de rochers, falaises et éboulis, en particulier en montagne. Il a su s’adapter à des habitats artificiels tels que les carrières et les constructions humaines, d’où à l’heure actuelle une vaste distribution en plaine également y compris dans les grands centres urbains.

Le Rougequeue noir se nourrit de toutes sortes d’insectes et d’invertébrés. A l’automne en particulier, il recherche aussi les fruits et les baies.

L’espèce est migratrice partielle, envoyant à l’automne des contingents dans la péninsule ibérique voire jusqu’en Afrique du Nord, alors même que certains individus hivernent chez nous, rejoints par des migrateurs nordiques. La migration d’automne est sensible en octobre notamment, celle de printemps a lieu en mars-avril, parfois dès la fin de février. Le chant du ♂ est un gazouillis précipité suivi d’un étrange bruit de papier froissé et de quelques notes finales.

La saison de nidification commence en avril, parfois dès la fin de mars, et s’achève en juillet. Le nid est édifié dans un trou de rocher ou dans un mur, les cavités à large ouverture étant préférées. Les matériaux utilisés sont les herbes sèches, feuilles et autres matières végétales, la coupe interne étant garnie de plumes ou de poils. La ponte comprend 4 à 6 œufs couvés par la femelle. Les oisillons éclosent au bout de deux semaines (13 à 17 jours), et sont activement nourris par les deux parents. Ils prennent leur envol au bout de deux semaines (12 à 19 jours). Il peut y avoir deux (voire trois) nichées successives.

Source : fiche descriptive, INPN
H2 : Éboulis
H3 : Falaises continentales, pavements rocheux et affleurements rocheux
J1 : Bâtiments des villes et des villages
J2 : Constructions à faible densité

Source : Habitat(s) lié(s) au taxon - Habref (EUNIS 2012), INPN

Répartition actuelle en France métropolitaine

Cartographie issue de l'INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.

Répartition mondiale actuelle

Cartographie issue du GBIF (2021) - Avertissement : les données visualisables sont issues d'une recherche du taxon dans la base du GBIF : ce résultat peut être imparfait. Ces données reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau mondial : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.

Motacilla gibraltariensis Gmelin, 1789
Motacilla ochruros S. G. Gmelin, 1774
Phoenicurus ochruros gibraltariensis (Gmelin, 1789)
Phoenicurus ochruros ochruros (Gmelin, 1774)

Observations mensuelles

Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.