• 183
    observations

  • 39
    communes

  • 16
    sources

  • Première observation
    1980

  • Dernière observation
    2024
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Cartographie issue du Parc Normandie-Maine - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes sur le territoire du Parc : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives. En savoir plus sur les données : | et sur les partenaires : .

Informations sur l'espèce

Taille/poids :
Longueur totale : 15 cm. Poids : 29 g.

Diagnose :
Passereau de taille moyenne, de teinte dominante brunâtre, l’Alouette lulu est dénuée de couleurs vives. Un sourcil très clair souligne sa petite calotte marron rayée. Elle est la seule parmi les alouettes françaises à présenter une tache noire entourée de blanc à l'angle de l'aile. A l'envol, la brièveté de sa queue lui confère une silhouette trapue. Le ♂ émet un chant liquide très pur, avec de riches séries mélodieuses d'une grande clarté.

Détermination :
Simple. Facile sur photo.

Espèces proches :
Les sourcils clairs de cette alouette se rejoignent à la nuque, ce qui la distingue de l'Alouette des champs (Alauda arvensis) qui est par ailleurs nettement plus grande.

Période d’observation :
Toute l’année, mais l’espèce est rare en hiver au nord d'une ligne Caen-Genève. Au sud, les oiseaux sont sédentaires et voient leurs effectifs renforcés du fait de l’afflux de migrateurs.

Biologie-éthologie :
En été, l’Alouette consomme essentiellement des insectes et araignées, alors qu’à la fin d'été et en hiver, son alimentation s’enrichit d'un complément végétal : graines de graminées, de crucifères, de chénopodiacées et d'ombellifères.

Biogéographie et écologie :
C'est un oiseau strictement paléarctique, qui est sédentaire ou migrateur partiel dans les zones tempérées et méditerranéennes d’Europe, de Proche-Orient et du Maghreb. Ses préférences thermophiles limitent son implantation en Scandinavie par exemple : elle n’y est présente que dans le sud. L’Alouette lulu choisit avant tout des secteurs dégagés et secs, flancs en pente douce ou légers replats de collines, coteaux sableux ou calcaires très perméables.

Source : fiche descriptive, INPN
E1 : Pelouses sèches
F4 : Landes arbustives tempérées
F7 : Landes épineuses méditerranéennes (phryganes, landes-hérisson et végétation apparentée des falaises littorales)

Source : Habitat(s) lié(s) au taxon - Habref (EUNIS 2012), INPN

Répartition actuelle en France métropolitaine

Cartographie issue de l'INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.

Répartition mondiale actuelle

Cartographie issue du GBIF (2021) - Avertissement : les données visualisables sont issues d'une recherche du taxon dans la base du GBIF : ce résultat peut être imparfait. Ces données reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau mondial : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.

Alauda arborea Linnaeus, 1758
Lullula arborea arborea (Linnaeus, 1758)
Lullula arborea pallida Zarudny, 1902

Observations mensuelles

Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.