• 380
    observations

  • 79
    communes

  • 19
    sources

  • Première observation
    1982

  • Dernière observation
    2024

Alençon - Ambrières-les-Vallées - Ancinnes - Argentan - Assé-le-Boisne - Athis-Val de Rouvre - Bagnoles de l'Orne Normandie - Barenton - Bourg-le-Roi - Carrouges - Ceaucé - Champfrémont - Champsecret - Colombiers - Coulonges-sur-Sarthe - Domfront en Poiraie - Dompierre - Essay - Hauterive - Joué-du-Bois - Juvigny Val d'Andaine - La Coulonche - La Ferrière-aux-Étangs - La Ferté Macé - La Lande-de-Goult - Laleu - La Motte-Fouquet - Lassay-les-Châteaux - Le Bouillon - Le Cercueil - Le Housseau-Brétignolles - Le Mêle-sur-Sarthe - Le Ménil-Broût - Les Monts d'Andaine - Les Ventes-de-Bourse - Lignières-Orgères - Lonlay-l'Abbaye - Mamers - Mantilly - Méhoudin - Mieuxcé - Mortain-Bocage - Mortrée - Moulins-le-Carbonnel - Neauphe-sous-Essai - Neufchâtel-en-Saosnois - Neuilly-le-Bisson - Passais Villages - Perrou - Pré-en-Pail-Saint-Samson - Rânes - Rennes-en-Grenouilles - Rives d'Andaine - Rouperroux - Saint-Bômer-les-Forges - Saint-Calais-du-Désert - Saint-Cyr-en-Pail - Saint-Denis-sur-Sarthon - Sainte-Marguerite-de-Carrouges - Saint-Fraimbault - Saint-Georges-de-Rouelley - Saint-Gervais-du-Perron - Saint-Julien-sur-Sarthe - Saint-Léger-sur-Sarthe - Saint-Longis - Saint-Mars-d'Égrenne - Saint-Martin-des-Landes - Saint-Ouen-le-Brisoult - Saint-Patrice-du-Désert - Saint-Pierre-des-Nids - Saint-Rémy-de-Sillé - Saint-Rémy-du-Val - Saint-Roch-sur-Égrenne - Saint-Sauveur-de-Carrouges - Sées - Sillé-le-Guillaume - Tessé-Froulay - Villeneuve-en-Perseigne - Villepail

Association Faune & Flore de l'Orne (AFFO) - Bureau ENS (Conseil départemental de l'Orne) - Bureaux d'études & consultants - CHOLET Joachim - CPIE Collines normandes - Conservatoire d'espaces naturels de Midi-Pyrénées (CEN MP) - DELCLOY Cédric - GRoupe d'ETude des Invertébrés Armoricains (GRETIA) - Groupe Ornithologique Normand (GONm) - Habitants-bénévoles - Institut national de l'information géographique et forestière (IGN) - LE GOÏC Matthieu - LE MARQUER Alain - LPO Sarthe - Mayenne Nature Environnement (MNE) - Muséum national d'Histoire naturelle (MNHN) - PNR Normandie-Maine - Parc Éolien des Avaloirs - Peter Stallegger (Consultant Environnement)

Cartographie issue du Parc Normandie-Maine - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes sur le territoire du Parc : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives. En savoir plus sur les données : | et sur les partenaires : .

Informations sur l'espèce

Taille/poids :
Longueur totale : 30 à 31 cm. Poids : 224 à 257 g.

Diagnose :
L’oiseau adulte est d’apparence noire, mais si la calotte, le bec et les pattes sont vraiment noirs, les côtés de la tête et l’arrière du cou sont gris cendré, le reste des parties supérieures noires à reflets violacées et verdâtres et les parties inférieures gris noirâtre. L’iris est blanc. Chez les jeunes, le noir et le gris sont teintés de brunâtre ; l’iris est bleu grisâtre. Le cri du Choucas des tours qui lui a valu son nom est typique.

Détermination :
Simple. Facile sur photo.

Espèces proches : Les deux seuls oiseaux avec lesquels le Choucas des tours peut être confondu sont le Corbeau freux (Corvus frugilegus) et la Corneille noire (Corvus corone), notamment mêlés au milieu de bandes mixtes de Corvidés. Toutefois, la taille et l’envergure plus grandes rendent relativement aisée la détermination de ces deux dernières espèces en vol.

Période d’observation :
Toute l’année.

Biologie-éthologie :
La part des insectes dans le régime alimentaire du choucas est nettement plus importante que dans celle des autres espèces de corvidés et les invertébrés constituent l’essentiel du régime alimentaire des jeunes. L’espèce est toutefois omnivore et très opportuniste. C’est ainsi qu’elle peut aussi bien se nourrir de fruits, de baies, de glands, de graines ou de tubercules divers.

Biogéographie et écologie :
Largement réparti à travers l’Eurasie où plusieurs sous-espèces ont été distinguées. L’espèce habite une grande variété de milieux à l’exclusion des zones de haute montagne et des secteurs densément boisés. La grande capacité d’adaptation de l’espèce, certainement à l’origine de son expansion géographique, lui a permis de coloniser de nombreux sites liés à l’activité humaine qu’ils soient urbains, industriels ou ruraux.

Source : fiche descriptive, INPN
B3 : Falaises, corniches et rivages rocheux, incluant le supralittoral
H3 : Falaises continentales, pavements rocheux et affleurements rocheux
J1 : Bâtiments des villes et des villages
J3 : Sites industriels d'extraction

Source : Habitat(s) lié(s) au taxon - Habref (EUNIS 2012), INPN

Répartition actuelle en France métropolitaine

Cartographie issue de l'INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.

Répartition mondiale actuelle

Cartographie issue du GBIF (2021) - Avertissement : les données visualisables sont issues d'une recherche du taxon dans la base du GBIF : ce résultat peut être imparfait. Ces données reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau mondial : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.

Coelus monedula (Linnaeus, 1758)
Coloeus monedula (Linnaeus, 1758)

Observations mensuelles

Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.