• 149
    observations

  • 55
    communes

  • 17
    sources

  • Première observation
    1995

  • Dernière observation
    2023
Association Faune & Flore de l'Orne (AFFO) - Bureau ENS (Conseil départemental de l'Orne) - CHOLET Joachim - CPIE Collines normandes - Conservatoire d'espaces naturels de Midi-Pyrénées (CEN MP) - DELCLOY Cédric - Groupe Ornithologique Normand (GONm) - Groupe Ornithologique des Avaloirs - Habitants-bénévoles - Institut national de l'information géographique et forestière (IGN) - LE GOÏC Matthieu - LE MARQUER Alain - LPO Sarthe - Mayenne Nature Environnement (MNE) - Muséum national d'Histoire naturelle (MNHN) - PNR Normandie-Maine - Peter Stallegger (Consultant Environnement)

Cartographie issue du Parc Normandie-Maine - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes sur le territoire du Parc : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives. En savoir plus sur les données : | et sur les partenaires : .

Informations sur l'espèce

Longueur 16-17 cm, envergure 24-26 cm, poids 34-46 g.

Le Martin-pêcheur recherche les eaux riches en petits poissons et libres de glace en hiver. Il préfère les eaux douces aux eaux saumâtres ou salées pour la reproduction et apprécie la présence de perchoirs pour ses affûts. Il a également besoin de talus pour y creuser le tunnel du nid.

L’alimentation est principalement constituée de poissons et d’insectes aquatiques, plus rarement de crustacés, mollusques, insectes terrestres et amphibiens. Il se nourrit en plongeant, soit depuis un perchoir, soit après un vol sur place. Les ailes sont étendues dans le prolongement du corps au moment de la pénétration dans l’eau.

Les Martins-pêcheurs d’Europe sont plutôt solitaires en dehors de la saison des nids et beaucoup défendent un territoire alimentaire. Le mâle adulte défend habituellement le territoire de nidification de l’été précédent, tandis que la femelle reste à proximité. L’espèce est normalement monogame. Bien que la fidélité du couple puisse exister d’une saison sur l’autre, le changement de partenaire et de territoire peut avoir lieu au cours de la saison de reproduction. La formation du couple débute par de bruyantes poursuites aériennes près du site de nid. Les simulacres de nourrissage se déroulent peu avant la finition du nid.

Ce dernier est creusé sur les rives abruptes d’une rivière ou d’une carrière, le plus souvent au-dessus de l’eau. Le tunnel mesure ordinairement entre 45 et 90 cm, avec une chambre d’incubation au bout, à l’horizontale ou légèrement plus haute que l’entrée. La ponte de 6-7 œufs (maximum 8) commence en avril et la couvaison dure 3 semaines. Les jeunes s’envolent durant leur 4e semaine et deviennent indépendants au bout de quelques jours. Il arrive qu’il y ait une 2e, voire une 3e couvée annuelle.

Source : fiche descriptive, INPN
C1 : Eaux dormantes de surface
C2 : Eaux courantes de surface
J5 : Plans d'eau construits très artificiels et structures connexes

Source : Habitat(s) lié(s) au taxon - Habref (EUNIS 2012), INPN

Répartition actuelle en France métropolitaine

Cartographie issue de l'INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.

Répartition mondiale actuelle

Cartographie issue du GBIF (2021) - Avertissement : les données visualisables sont issues d'une recherche du taxon dans la base du GBIF : ce résultat peut être imparfait. Ces données reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau mondial : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.

Alcedo atthis corsicana Laubmann, 1920
Alcedo atthis ispida Linnaeus, 1758
Alcedo ispida Linnaeus, 1758
Gracula atthis Linnaeus, 1758

Observations mensuelles

Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.