• 37
    observations

  • 18
    communes

  • 11
    sources

  • Première observation
    1993

  • Dernière observation
    2024
Association Faune & Flore de l'Orne (AFFO) - Base pour l'inventaire des observations subaquatiques (BioObs) - Bureau ENS (Conseil départemental de l'Orne) - CHOLET Joachim - Conservatoire Botanique National de Brest (CBNB) - JARDIN Rémi - LE GOÏC Matthieu - LE MARQUER Alain - PNR Normandie-Maine - Peter Stallegger (Consultant Environnement) - WINNICKI Ulysse

Cartographie issue du Parc Normandie-Maine - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes sur le territoire du Parc : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives. En savoir plus sur les données : | et sur les partenaires : .

Informations sur l'espèce

Diagnose :
La Pariétaire des murs est une espèce de la famille des Urticacées, herbacée, vivace, au départ étalée, puis dressée, pouvant atteindre 40 cm de hauteur. Les tiges sont de couleur rougeâtre et portent des fins poils mous, leur donnant souvent une teinte grise. Ses feuilles sont alternes, ovales, avec une pointe allongée. Les fleurs sont disposées en glomérules, placés à l’aisselle des feuilles terminales. Elles possèdent un calice à quatre sépales soudés, quatre petits pétales verts, soudés à leurs bases, et quatre étamines. Sa floraison s’étale de la fin du printemps aux premières gelées. Les fruits sont des akènes de toute petite dimension.

Détermination :
La Pariétaire des murs est facile à déterminer. On la confond facilement avec la Pariétaire officinale (Parietaria officinalis L.), plus rare, souvent sur sols humides (bord de cours d’eau, sous-bois), qui ne présente pas habituellement de tiges étalées sur le sol. De même, les bractées florales ne sont pas soudées à leurs bases, alors qu’elles le sont chez la Pariétaire des murs.

Biogéographique et écologie :
En France métropolitaine, cette espèce est commune dans toutes les régions. Son habitat privilégié correspond aux zones rudérales et délaissées, comme les vieux murs en pierres, les friches et les décombres, sur des sols globalement secs récemment remaniés ou fortement nitratés.

D'après :
Coste, H. 1900-1906. Flore descriptive et illustrée de la France, de la Corse et des contrées limitrophes. Paul-Klincksieck, Paris. Réédité en trois tomes en 1998. Librairie scientifique et technique Albert Blanchard, Paris.

Source : fiche descriptive, INPN
J1.31 : Murs des vieilles villes

Source : Habitat(s) lié(s) au taxon - Habref (EUNIS 2012), INPN

Répartition actuelle en France métropolitaine

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Répartition mondiale actuelle

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Parietaria canescens Blume, 1856
Parietaria diffusa Mert. & W.D.J.Koch, 1823
Parietaria officinalis subsp. diffusa Arcang., 1882
Parietaria officinalis subsp. diffusa (Mert. & W.D.J.Koch) Schübl. & G.Martens, 1834
Parietaria officinalis subsp. judaica (L.) Bég., 1908
Parietaria officinalis subsp. ramiflora sensu P.Fourn., 1935
Parietaria punctata Willd., 1806
Parietaria ramiflora Moench, 1794
Parietaria vulgaris Hill, 1756

Observations mensuelles

Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.