• 36
    observations

  • 14
    communes

  • 9
    sources

  • Première observation
    1982

  • Dernière observation
    2023
Association Faune & Flore de l'Orne (AFFO) - Conservatoire d'espaces naturels de Midi-Pyrénées (CEN MP) - DELCLOY Cédric - Habitants-bénévoles - LPO France - LPO Sarthe - Muséum national d'Histoire naturelle (MNHN) - PNR Normandie-Maine - Parc Éolien des Avaloirs

Cartographie issue du Parc Normandie-Maine - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes sur le territoire du Parc : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives. En savoir plus sur les données : | et sur les partenaires : .

Informations sur l'espèce

Taille/poids :
Longueur totale : 14 à 16,5 cm. Poids : 24 g.

Diagnose :
Le ♂ a le dessus du corps gris bleuté. Les ailes ainsi que les joues et le bandeau sous l'oeil sont noirs. Un sourcil blanchâtre se prolonge jusqu'au bec. La gorge beige orangée s'étend plus ou moins sur la poitrine blanche. Chez la femelle, le dessus du corps est brun, les rémiges d'un brun plus foncé. Le dessous du corps est fauve avec le ventre crème et les joues chamois clair. Trait commun à tous les plumages, le blanc éclatant du croupion et des bords de la queue où se détache en noir un T renversé.

Détermination :
Simple. Facile sur photo.

Espèces proches :
Dans le sud de la France, la ♀ de Traquet oreillard Oenanthe hispanica s'en distingue par un dessus plus fauve, des ailes plus noires, plus de blanc à la queue dont la barre terminale noire n'est pas uniforme mais dessine une "ancre".

Période d’observation :
Mi-mars à octobre.

Biologie-éthologie :
Le régime alimentaire est constituée d'insectes. Le Traquet motteux capture l'essentiel de ses proies à vue, en courant ou en sautillant sur une courte
distance. Il lui arrive de poursuivre certains insectes au vol.

Biogéographie et écologie :
L'aire de nidification du Traquet motteux, espèce paléartique, est très vaste en Europe et en Asie. Il a même colonisé une partie de l'Alaska à partir de la Sibérie orientale. Presque toutes les populations, même celle du Néarctique, passent l'hiver en Afrique tropicale. L'habitat type est constitué d'espaces ouverts à végétation rase et éparse. En montagne, on le rencontre sur des coteaux vallonnés, des pelouses alpines, des éboulis. En bord de mer, on le trouve dans les dunes ou sur les côtes balayées par le vent. Ailleurs, ce sont des friches, des coteaux ou des causses méridionaux qui lui offrent les habitats semi-désertiques qu'il affectionne.

Source : fiche descriptive, INPN
B1 : Dunes côtières et rivages sableux
E1 : Pelouses sèches
E4 : Pelouses alpines et subalpines
H2 : Éboulis
I1 : Cultures et jardins maraîchers

Source : Habitat(s) lié(s) au taxon - Habref (EUNIS 2012), INPN

Répartition actuelle en France métropolitaine

Cartographie issue de l'INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.

Répartition mondiale actuelle

Cartographie issue du GBIF (2021) - Avertissement : les données visualisables sont issues d'une recherche du taxon dans la base du GBIF : ce résultat peut être imparfait. Ces données reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau mondial : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.

Motacilla oeanthe Linnaeus, 1758
Oenanthe oenanthe schiöleri Salomonsen, 1927

Observations mensuelles

Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.