Ferdinandea cuprea (Scopoli, 1763)

Classe : Insecta Ordre : Diptera Famille : Syrphidae Sous-Famille : Eristalinae Tribu : Rhingiini Genre : Ferdinandea

  • 4
    observations

  • 4
    communes

  • 5
    sources

  • Première observation
    2015

  • Dernière observation
    2022
Association Faune & Flore de l'Orne (AFFO) - CPIE Mayenne - Bas-Maine - Conservatoire d'espaces naturels des Pays de la Loire (CEN PDL) - GRoupe d'ETude des Invertébrés Armoricains (GRETIA) - PNR Normandie-Maine

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Informations sur l'espèce

Taille :
Moyenne, 7 à 12mm.

Diagnose :
Le genre Ferdinandea comprend 4 espèces différentes en France et se reconnaît grâce à ses callus huméraux poilus, ses antennes courtes, son abdomen sombre à reflets cuivrés, et des taches sombres le long de certaines nervures sur l’aile. Ferdinandea cuprea se distingue par sa face entièrement jaune, sur les antennes, l’arista est foncée et sur l’aile, son pterostigma est entièrement jaune également.

Facilité d'identification :
Difficile, examen à la loupe binoculaire indispensable.

Confusions possibles :
Confusion possible avec toutes les espèces du genre Ferdinandea. Cette espèce peut se trouver sur les mêmes arbres aux mêmes périodes que Ferdinandea fumipennis.

Période de vol :
Les adultes sont visibles d’avril à septembre avec un premier pic en juin et un second pic en août correspondant aux deux générations annuelles.

Répartition générale :
Cette espèce est présente de la Scandinavie jusqu’en Afrique du Nord. Présente dans les îles britanniques elle s’étend vers l’est à travers toute l’Europe, la Russie et la Turquie jusqu’à l’Asie et la côte pacifique jusqu’au Japon.

Habitat et biologie :
C’est une espèce forestière, notamment des forêts de feuillus avec des arbres âgés comme les forêts alluviales, de nombreux types de chênaies mais aussi les bois de bouleau. Les adultes sont très souvent au soleil sur les troncs d’arbres vivants ou sur les arbres coupés mis en tas. Les larves sont associées à différents micro-habitats des arbres comme les coulées de sèves, les cavités à terreau, les racines pourrissantes… Mais il semble qu’elles puissent également se nourrir d’autres végétaux pourrissants et ne soient pas exclusivement liées aux arbres.

Speight, M.C.D. (2020) Species accounts of European Syrphidae, 2020. Syrph the Net, the database of European Syrphidae (Diptera), vol. 104, 314 pp., Syrph the Net publications, Dublin.

Source : fiche descriptive, INPN
Non renseigné pour le moment

Répartition actuelle en France métropolitaine

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Répartition mondiale actuelle

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Conops cuprea Scopoli, 1763

Observations mensuelles

Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.