• 36
    observations

  • 20
    communes

  • 9
    sources

  • Première observation
    1993

  • Dernière observation
    2023
Association Faune & Flore de l'Orne (AFFO) - Bureau ENS (Conseil départemental de l'Orne) - CPIE Collines normandes - Conservatoire d'espaces naturels des Pays de la Loire (CEN PDL) - DELCLOY Cédric - GRoupe d'ETude des Invertébrés Armoricains (GRETIA) - LUTRAND Christophe - PNR Normandie-Maine - Peter Stallegger (Consultant Environnement)

Cartographie issue du Parc Normandie-Maine - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes sur le territoire du Parc : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives. En savoir plus sur les données : | et sur les partenaires : .

Informations sur l'espèce

Taille :
12-20 mm.

Diagnose :
Dessous du corps, tête, pattes et antennes noirs. Élytres et dessus du thorax rouges. Antennes fortement dentées chez le mâle, filiformes chez la femelle. Aucune trace de stries sur les élytres. Le corps a un aspect aplati, peu épais, déprimé. La tête a les tempes élargies en arrière, lui donnant un aspect triangulaire, elle est à peu près aussi large que le thorax. La larve est plate, jaune, la tête et les pattes orange, le dernier segment abdominal porte deux pointes orange.

Facilité d’identification :
Moyennement difficile

Espèces proches :
Cette espèce ne peut être confondues avec d’autres espèces rouges et déprimées, comme notre autre Pyrochroa (P. serraticornis (Scopoli, 1763), qui a la tête rouge), les Lycidae, notamment le genre Dyctiopterus (aux élytres striées), le très rare Cucujus cinnaberinus (Scopoli, 1763), à la tête plus large que le thorax, qui a le même mode de vie ; et le longicorne Pyrrhidium sanguineum (Linnaeus, 1758) dont le thorax n’est pas rouge mais noir avec une pilosité rouge.

Période d’observation :
On peut la rencontrer toute l’année.

Biologie-ethologie :
Les adultes sont floricoles, on les rencontre au printemps et en été, dans les espace ouverts des forêts et des boisements, où à leur proximité plus ou moins immédiate (cette espèce vole très bien). La larve vit sous les écorces des troncs d’arbres, résineux ou à feuilles caduques, elle est prédatrice d’autres larves, principalement saproxylophages (mangeuses de bois mort).

Biogéographie :
L’espèce est connue de toute la France métropolitaine, où elle est très commune.

Source : fiche descriptive, INPN
Non renseigné pour le moment

Répartition actuelle en France métropolitaine

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Répartition mondiale actuelle

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Cantharis coccinea Linnaeus, 1761

Observations mensuelles

Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.