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  • 13 observations

  • 7 communes

  • 4 observateurs

  • 4 organismes

  • Première observation
    1987

  • Dernière observation
    2022

Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes sur le territoire du Parc & Géoparc : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives. En savoir plus sur les données et sur les partenaires

Anonymisé - Debroize Morvan - Fouillet Philippe - Tiberghien Gérard

Avertissement : Seul les producteurs et les fournisseurs renseignés dans la base de données sont affichés ci-dessous. Si plusieurs organismes ont contribués à un même jeu de données, ils auront une part égale d'aide à la prospection. Les pourcentages affichés ne sont par conséquent pas cumulables entre eux.

  • PNR et géoparc mondial UNESCO Normandie-Maine
    Participation à 9 Observations
    Part d'aide à la prospection : 69.23 %

    Fiche organisme
  • Association Faune & Flore de l'Orne (AFFO)
    Participation à 8 Observations
    Part d'aide à la prospection : 61.54 %

    Fiche organisme
  • GRoupe d'ETude des Invertébrés Armoricains (GRETIA)
    Participation à 1 Observation
    Part d'aide à la prospection : 7.69 %

    Fiche organisme
  • Conseil départemental de l'Orne (bureau ENS)
    Participation à 1 Observation
    Part d'aide à la prospection : 7.69 %

    Fiche organisme

Informations espèce

Distribution mondiale :
toute l’Europe, Asie

Caractères distinctifs, espèces :
Taille - ♀ : 9-15 mm, ♂ : 8-11 mm.

Les filières sont longues, caractéristiques de la famille. Le corps est densément recouvert de soies. L’espèce est gris-brun clair, avec deux bandes latérales foncées sur toute la longueur du corps. L’abdomen ovale est marqué d’une série de chevrons sur les bandes sombres. Les jeunes ont un céphalothorax rougeâtre avec un abdomen noir. Il existe trois espèces en France dans les genres Agelena et Allegelena, l’observation des pièces génitales est indispensable pour bien les distinguer.

Milieux colonisés :
L’espèce colonise des milieux très variés de végétation dense et basse, depuis les bords de routes jusqu’aux lisières de forêts, en milieux secs ou humides.

Chasse :
Au dessus de la végétation, elle construit une toile horizontale, non collante, très grande, d’un demi-mètre ou plus, surmontée d’un entrelacs de fils d’interception. La nappe se prolonge en son milieu par une retraite tubulaire qui descend dans la végétation et sert de sortie de secours dans laquelle l’araignée se retire pour manger ses proies ou muer. L’araignée capture des proies de très grande taille telles des orthoptères.

Développement, cycle :
Les mâles sont présents de juin à août, les femelles de juin à octobre. Le cycle est annuel.

Le ♂ vit parfois avec une ♀ immature, la toile a alors une double retraite. L’accouplement a lieu dans la retraite Après l’accouplement la ♀ tisse en fin d’été une grande chambre dans la végétation proche de la toile et y dépose son cocon. La construction devient suffisamment complexe pour que l’on ait parlé de « labyrinthe ». La ponte comprend de 60 à 150 œufs. Les jeunes sortent du cocon rapidement et restent avec la ♀ pendant l’hiver, ils s’en nourrissent après sa mort, puis se dispersent au printemps.

Source : fiche descriptive, INPN

Non renseigné pour le moment

Répartition actuelle en France métropolitaine

© INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.

Répartition actuelle dans le monde

Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau mondial : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.

Agealena labyrinthica (Clerck, 1758) | Araneus labyrinthicus Clerck, 1758

Observations mensuelles

Avertissement : Les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.