Saperde postale, Saperde à échelons

Saperda scalaris (Linnaeus, 1758)

Classe : Insecta Ordre : Coleoptera Famille : Cerambycidae Sous-Famille : Lamiinae Tribu : Saperdini Genre : Saperda
Chargement...

  • 3 observations

  • 2 communes

  • 1 observateur

  • 2 organismes

  • Première observation
    2014

  • Dernière observation
    2022

Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes sur le territoire du Parc & Géoparc : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives. En savoir plus sur les données et sur les partenaires

Anonymisé

Avertissement : Seul les producteurs et les fournisseurs renseignés dans la base de données sont affichés ci-dessous. Si plusieurs organismes ont contribués à un même jeu de données, ils auront une part égale d'aide à la prospection. Les pourcentages affichés ne sont par conséquent pas cumulables entre eux.

  • Association Faune & Flore de l'Orne (AFFO)
    Participation à 2 Observations
    Part d'aide à la prospection : 66.67 %

    Fiche organisme
  • PNR et géoparc mondial UNESCO Normandie-Maine
    Participation à 1 Observation
    Part d'aide à la prospection : 33.33 %

    Fiche organisme

Informations espèce

Taille : 10 – 20 mm

Diagnose :
Saperde à stature allongée, à corps noir recouvert de pubescence courte et raide jaune soufre, parfois blanc grisâtre. Les articles antennaires sont annelés de pubescence claire à la base, noire à l’apex. Les élytres noirs sont ornés d’une bande suturale jaune formant des dilatations transverses ainsi que des taches.

Détermination :
simple.

Espèces proches :
aucune, le motif élytral est caractéristique.

Période d’observation :
Les adultes sont actifs de fin mars à juillet.

Biologie-éthologie :
La larve très polyphage se développe dans les branches et troncs dépérissant ou morts de cerisier de préférence, mais aussi sur de nombreux feuillus, (arbres fruitiers, sorbier, peuplier, aulne, bouleau, saule, orme…) plus rarement sur résineux. L’adulte est diurne et s’observe sur les troncs morts et sur les feuillages. Le cycle larvaire dure un à deux ans, parfois trois.

Biogéographie et écologie :
Espèce typiquement paléarctique répandue jusqu’au Pacifique. En France, elle est assez commune partout. Son habitat est constitué de ripisylves, vergers et bois feuillus.

D’après :
- Berger, P. 2012. Coléoptères Cerambycidae de la faune de France continentale et de Corse - Actualisation de l'ouvrage d'André Villiers, 1978. Revue de l’Association Roussillonnaise d’Entomologie, supplément tome XXI, 664 p.
- Touroult, J., Cima, V., Bouyon, H., Hanot, C., Horellou, A., Brustel, H., 2019 – Longicornes de France Atlas préliminaire (Coleoptera : Cerambycidae & Vesperidae). Supplément au bulletin d’ACOREP – France, Paris. 176 p.

Source : fiche descriptive, INPN

Non renseigné pour le moment

Répartition actuelle en France métropolitaine

© INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.

Répartition actuelle dans le monde

Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau mondial : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.

Cerambyx scalaris Linnaeus, 1758 |

Observations mensuelles

Avertissement : Les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.