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  • 8 observations

  • 8 communes

  • 3 observateurs

  • 3 organismes

  • Première observation
    1987

  • Dernière observation
    2024

Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes sur le territoire du Parc & Géoparc : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives. En savoir plus sur les données et sur les partenaires

Anonymisé - Decan Romain - Le Goïc Matthieu

Avertissement : Seul les producteurs et les fournisseurs renseignés dans la base de données sont affichés ci-dessous. Si plusieurs organismes ont contribués à un même jeu de données, ils auront une part égale d'aide à la prospection. Les pourcentages affichés ne sont par conséquent pas cumulables entre eux.

  • PNR et géoparc mondial UNESCO Normandie-Maine
    Participation à 5 Observations
    Part d'aide à la prospection : 62.50 %

    Fiche organisme
  • Habitants-bénévoles
    Participation à 4 Observations
    Part d'aide à la prospection : 50.00 %

    Fiche organisme
  • Association Faune & Flore de l'Orne (AFFO)
    Participation à 3 Observations
    Part d'aide à la prospection : 37.50 %

    Fiche organisme

Informations espèce

Distribution mondiale :
toute l’Europe, Bassin méditerranéen

Caractères distinctifs, espèces :
Taille - ♀ : 10-14 mm, ♂ : 11-16 mm.

C’est une grande espèce aux pattes, sombres, velues et longues, chez le ♂ encore plus que chez la femelle. Sa couleur générale est brunâtre avec deuxbandes claires sur les côtés du céphalothorax et un abdomen brun à taches claires en séries. La systématique de ce groupe, à l’origine deTegenaria, a été revu récemment et en a été complètement remaniée (regroupement des espèces : atrica, saeva, duellica, nervosa, etgigantea) . Il faudra donc un peu de temps avant de discerner les biologies respectives. On distingue maintenant en France, deux Aterigena, 5 Eratigena et 17 Tegenaria. Eratigena atrica est avec Tegenaria ferruginea une grande espèce que l’on rencontre souvent dans les habitations et qu’il ne faut pas confondre avec une espèce beaucoup plus petite, Tegenaria domestica.

Milieux colonisés :
Si l’espèce colonise des milieux naturels : rochers ou troncs au sol, elle est surtout connue de milieux construits par l’homme.

Chasse :
L’espèce tisse une toile nappe non collante qui prolonge une retraite tubulaire cachée dans la végétation, dans un trou de mur, derrière un meuble. Les individus se déplacent sur la toile, c’est là qu’ils viennent capturer les proies qui se sont hasardées sur la nappe. Elles sont saisies et consommées dans la retraite.

Développement, cycle :
Les femelles adultes sont trouvées toute l’année, plus abondantes de septembre à décembre, les mâles sont présents de août à octobre. Le cycle dure deux ans.

L’araignée effectue ses mues dans sa retraite. Le ♂ recherche souvent une ♀ immature, vit avec elle jusqu’à sa mue de maturité, puis la féconde ensuite, plusieurs fois. La ponte, de 40 à 60 œufs, n’est déposée dans la retraite qu’au printemps suivant.

Source : fiche descriptive, INPN

Non renseigné pour le moment

Répartition actuelle en France métropolitaine

© INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.

Répartition actuelle dans le monde

Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau mondial : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.

Tegenaria atrica C.L. Koch, 1843 | Tegenaria deroueti Dresco, 1957 | Tegenaria nervosa Simon, 1870

Observations mensuelles

Avertissement : Les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.