Cordulie à corps fin (La), Oxycordulie à corps fin (L')
Oxygastra curtisii (Dale, 1834)
- 75 observations
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7 communes -
4 observateurs -
8 organismes -
Première observation
1970 -
Dernière observation
2023
Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes sur le territoire du Parc & Géoparc : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives. En savoir plus sur les données et sur les partenaires
Athis-Val de Rouvre - Lonlay-l'Abbaye - Mont-Saint-Jean - Moulins-le-Carbonnel - Saint-Céneri-le-Gérei - Saint-Léonard-des-Bois - Sillé-le-Guillaume
Avertissement : Seul les producteurs et les fournisseurs renseignés dans la base de données sont affichés ci-dessous. Si plusieurs organismes ont contribués à un même jeu de données, ils auront une part égale d'aide à la prospection. Les pourcentages affichés ne sont par conséquent pas cumulables entre eux.
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PNR et géoparc mondial UNESCO Normandie-Maine
Participation à 70 Observations
Part d'aide à la prospection : 93.33 %
Fiche organisme -
GRoupe d'ETude des Invertébrés Armoricains (GRETIA)
Participation à 62 Observations
Part d'aide à la prospection : 82.67 %
Fiche organisme -
Association Faune & Flore de l'Orne (AFFO)
Participation à 8 Observations
Part d'aide à la prospection : 10.67 %
Fiche organisme -
Conseil départemental de l'Orne (bureau ENS)
Participation à 2 Observations
Part d'aide à la prospection : 2.67 %
Fiche organisme -
Mayenne Nature Environnement (MNE)
Participation à 2 Observations
Part d'aide à la prospection : 2.67 %
Fiche organisme -
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Groupe Ornithologique des Avaloirs
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 1.33 %
Fiche organisme -
CPIE Collines normandes
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 1.33 %
Fiche organisme
Informations espèce
Cette espèce est facilement reconnaissable à ses yeux vert brillant et à l’alignement médiodorsal de marques jaunes contrastant avec un abdomen vert métallique, fin et soudainement épaissi à son extrémité.
Endémique du sud-ouest de l’Europe et du Maroc. En France, cette espèce et assez commune dans la région méditerranéenne et sur la façade atlantique mais se raréfie dans la moitié nord-est du pays.
Elle vit surtout en eau courante (notamment dans les parties calmes des grandes rivières aux rives plus ou moins boisées), parfois en eau stagnante (mares, étangs, lacs, anciennes gravières), en-dessous de 800 m d’altitude. La présence d’une lisière arborée lui est nécessaire car les larves vivent surtout dans les débris végétaux s’accumulant entre les racines d’arbres immergés à l’aplomb des rives, où elles chassent à l’affût.
Les mâles patrouillent continuellement le long des rives sur des tronçons de 6 à 15 m ; notamment au niveau des secteurs ombragés et calmes, à la recherche des femelles qui viendraient y pondre. Les adultes sont visibles de fin mai à fin août avec un pic en juillet.
[D’après :
Dijkstra K.-D.B., 2007. Guide des Libellules de France et d’Europe. Delachaux et Niestlé SA, Paris, 320 pages.
Grand D., Boudot J.-P., 2006. Les Libellules de France, Belgique et Luxembourg . Biotope, Mèze, (Colection Parthénope), 480 pages.]
Source : fiche descriptive, INPN
C1 : Eaux dormantes de surface
C2 : Eaux courantes de surface
Répartition actuelle en France métropolitaine
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Observations mensuelles
Avertissement : Les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.