• 48
    observations

  • 24
    communes

  • 12
    sources

  • Première observation
    1993

  • Dernière observation
    2023
Association Faune & Flore de l'Orne (AFFO) - Biotope - Bureau ENS (Conseil départemental de l'Orne) - Conservatoire d'espaces naturels des Pays de la Loire (CEN PDL) - DELCLOY Cédric - GRoupe d'ETude des Invertébrés Armoricains (GRETIA) - Groupe Ornithologique des Avaloirs - LPO Sarthe - LUTRAND Christophe - Mayenne Nature Environnement (MNE) - PNR Normandie-Maine - Peter Stallegger (Consultant Environnement)

Cartographie issue du Parc Normandie-Maine - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes sur le territoire du Parc : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives. En savoir plus sur les données : | et sur les partenaires : .

Informations sur l'espèce

Taille :
Abdomen ♂ : 20-27 mm ; ♀ : 21-26 mm. Ailes postérieures ♂ : 14-19 mm ; ♀ : 15-20 mm.

Diagnose :
Le corps de cette demoiselle est bleu et noir, parfois vert chez la femelle. Chez le mâle, le dessin typique du deuxième segment de l’abdomen est en forme de U large à la base et connecté à l’extrémité du segment, rappelant la tête d’un chat. Les cercoïdes sont plus longs que les cerques. Les ptérostigmas sont de couleur brun pâle. Les ailes sont repliées au repos.

Détermination :
La détermination est délicate.

Espèces proches :
L'espèce est très proche de C. caerulescens. La forme du prothorax des femelles et les appendices abdominaux des mâles sont caractéristiques.

Période d’observation :
Les adultes sont observés de mai à septembre.

Biologie et écologie :
Cette espèce se trouve dans les eaux stagnantes bien ensoleillées avec une abondance de plantes aquatiques comme les myriophylles. Les habitats typiques sont les étangs, les mares et les marais mais elle peut également occuper certains bassins artificiels. Après l’accouplement, la ponte est effectuée en tandem avec le ♂ dressé à la verticale. La phase larvaire dure de 6 mois à un an.

Biogéographie :
Cette espèce est présente du pourtour méditerranéen jusqu’en Asie mineure. Au nord de son aire, on la retrouve en Belgique et en Allemagne où elle est plus rare et moins abondante. En France, Coenagrion scitulum est distribuée sur une grande partie du territoire à l’exception de l’est.

D’après :
Grand, D., Boudot, J.-P & Doucet, G. 2014. Cahier d’identification des Libellules de France, Belgique, Luxembourg et Suisse. Collection Cahier d’identification. Biotope, Mèze : 136 pp.
Grand, D. & Boudot, J.-P. 2006. Les Libellules de France, Belgique et Luxembourg. Collection Parthénope. Biotope, Mèze : 480 pp.
Dijkstra, K.-D. B. 2007. Guide des libellules de France et d'Europe. Les guides du naturaliste. Delachaux & Niestlé, Paris : 320 pp.

Source : fiche descriptive, INPN
B1 : Dunes côtières et rivages sableux
C1 : Eaux dormantes de surface
C2 : Eaux courantes de surface
J5 : Plans d'eau construits très artificiels et structures connexes

Source : Habitat(s) lié(s) au taxon - Habref (EUNIS 2012), INPN

Répartition actuelle en France métropolitaine

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Répartition mondiale actuelle

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Agrion scitulum Rambur, 1842

Observations mensuelles

Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.