Azuré des Cytises (L')

Glaucopsyche alexis (Poda, 1761)

Classe : Insecta Ordre : Lepidoptera Famille : Lycaenidae Sous-Famille : Polyommatinae Tribu : Polyommatini Genre : Glaucopsyche

  • 3
    observations

  • 3
    communes

  • 1
    source

  • Première observation
    1917

  • Dernière observation
    1917
Association Faune & Flore de l'Orne (AFFO)

Cartographie issue du Parc Normandie-Maine - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes sur le territoire du Parc : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives. En savoir plus sur les données : | et sur les partenaires : .

Informations sur l'espèce

Taille : Adulte : 28 - 40 mm

Diagnose :
Petit papillon dont le dessus est bleu-violet chez le mâle et brun foncé-bleuté chez la femelle. Le revers des ailes est gris clair avec un semis d’écailles bleu turquoise. Sur le revers des ailes, on trouve une série de points noirs cerclés de blanc, les ocelles, plus gros sur les ailes antérieures que sur les ailes postérieures. La chenille est de couleur variable vert pâle, rose ou jaune et devient blanche avant la nymphose.

Détermination :
L'adulte est moyennement difficile à reconnaître.

Espèces proches :
Confusion possible avec l’Azuré de la Badasse (Glaucopsyche melanops) qui a des taches submarginales grises sur le dessous des ailes.

Période d’observation :
L’adulte est visible d’avril à juin.

Biologie-éthologie :
En France, l’Azuré des Cytises réalise un cycle par an. Les chenilles se nourrissent de fleurs, de graines et de feuilles de différentes légumineuses comme les Luzernes, les Dorycnies, les Mélilots, les Vesces, etc. Elle est très souvent associée à plusieurs espèces de fourmis qui la protègent des prédateurs en échange d’un miellat qu’elle sécrète grâce à une glande mellifère dorsale.

Biogéographie et écologie :
Cette espèce est présente du Maghreb à la Sibérie. Elle privilégie les milieux bien ensoleillés comme les prairies, les pelouses, les landes mais également les lisières de forêt. Elle peut être observée du niveau de la mer jusqu’à 1°900 m d’altitude.
D’après :

Doux Y., Gibeaux C., 2007. Les papillons de jour d’Île-de-France et de l’Oise. Biotope, Mèze. Muséum national d’Histoire naturelle, Paris. 288 p. Lafranchis, T., Jutzeler, D., Guilloson, J.-Y., Kan, P., Kan, B. 2015. La vie des papillons. Editions Diatheo. Montpellier. 751 pp.Lafranchis, T. 2016. Papillons de France. Editions Diatheo. Montpellier. 351 pp.

Source : fiche descriptive, INPN

Répartition actuelle en France métropolitaine

Cartographie issue de l'INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.

Répartition mondiale actuelle

Cartographie issue du GBIF (2021) - Avertissement : les données visualisables sont issues d'une recherche du taxon dans la base du GBIF : ce résultat peut être imparfait. Ces données reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau mondial : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.

Glaucopsyche alexis alexis (Poda, 1761)
Glaucopsyche alexis cyllarus (Rottemburg, 1775)
Glaucopsyche alexis latina Hartig, 1939
Glaucopsyche alexis maritimalpium Verity, 1928
Glaucopsyche alexis pauper Verity, 1928
Glaucopsyche alexis pauperella Sagarra, 1926
Glaucopsyche cyllarus (Rottemburg, 1775)
Glaucopsyche cyllarus maritimalpium Verity, 1928
Glaucopsyche cyllarus pauper Verity, 1919
Glaucopsyche cyllarus pauperella Sagarra, 1926
Lycaena alexis alpina Turati & Verity, 1911
Lycaena cyllarus (Rottemburg, 1775)
Lycaena cyllarus blachieri Millière, 1887
Nomiades cyllarus (Rottemburg, 1775)
Papilio alexis Poda, 1761
Papilio cyllarus Rottemburg, 1775
Polyommatus cyllarus (Rottemburg, 1775)

Observations mensuelles

Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.