Lepture trapue

Pachytodes cerambyciformis (Schrank, 1781)

Classe : Insecta Ordre : Coleoptera Famille : Cerambycidae Sous-Famille : Lepturinae Tribu : Lepturini Genre : Pachytodes

  • 42
    observations

  • 24
    communes

  • 11
    sources

  • Première observation
    1993

  • Dernière observation
    2023
Association Faune & Flore de l'Orne (AFFO) - Bureau ENS (Conseil départemental de l'Orne) - CPIE Collines normandes - Conservatoire d'espaces naturels des Pays de la Loire (CEN PDL) - DELCLOY Cédric - GRoupe d'ETude des Invertébrés Armoricains (GRETIA) - Habitants-bénévoles - Institut national de l'information géographique et forestière (IGN) - LUTRAND Christophe - PNR Normandie-Maine - Peter Stallegger (Consultant Environnement)

Cartographie issue du Parc Normandie-Maine - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes sur le territoire du Parc : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives. En savoir plus sur les données : | et sur les partenaires : .

Informations sur l'espèce

Taille (imago) : 7 - 12 mm

Diagnose :
Lepture de stature large, noir avec les élytres jaunes maculés de noir. Élytres à motif variables mais toujours d'aspect mat et avec la suture élytrale jaune, jamais bordée de noir. Dernier article des palpes maxillaires cylindrique. La femelle est plus massive que le mâle et ses antennes n'atteignent pas l'extrémité des élytres.

Détermination :
Délicate. Possible avec une bonne photo des élytres.

Espèces proches :
Cette espèce est plus trapue que d'autres leptures tachetés (Rutpela maculata etc.) mais se rapproche de Judolia sexmaculata et surtout de Pachytodes erraticus, avec lequel elle peut cohabiter dans une partie de la France. Le caractère distinctif le plus simple est la coloration jaune le long de la ligne suturale des élytres, alors que les deux autres espèces ont un net liseré noir.

Période d’observation :mai à août, plus tardif en montagne qu'en plaine.

Biologie-éthologie :
Adulte floricole et diurne, observable sur de nombreuses fleurs, notamment les ombellifères, marguerites etc. Larve saproxylique, se développant dans les racines mortes d'arbres feuillus et parfois de résineux.

Biogéographie et écologie : Espèce d'Europe moyenne, de l'Angleterre à l'Europe de l'Est, du sud de la Scandinavie à la Grèce. L'espèce est commune dans les forêts feuillues comme résineuses. L'adulte affectionne notamment sur les bords de chemin, lisières et clairières fleuries et en particulier dans les milieux frais et humides.

Source : fiche descriptive, INPN
Non renseigné pour le moment

Répartition actuelle en France métropolitaine

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Répartition mondiale actuelle

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Judolia cerambyciformis (Schrank, 1781)
Leptura cerambyciformis Schrank, 1781

Observations mensuelles

Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.