Rhagie grondeuse

Rhagium inquisitor (Linnaeus, 1758)

Classe : Insecta Ordre : Coleoptera Famille : Cerambycidae Sous-Famille : Lepturinae Tribu : Rhagiini Genre : Rhagium

  • 23
    observations

  • 4
    communes

  • 7
    sources

  • Première observation
    1980

  • Dernière observation
    2022
Association Faune & Flore de l'Orne (AFFO) - Conservatoire d'espaces naturels des Pays de la Loire (CEN PDL) - DELCLOY Cédric - GRoupe d'ETude des Invertébrés Armoricains (GRETIA) - LUTRAND Christophe - PNR Normandie-Maine - Peter Stallegger (Consultant Environnement)

Cartographie issue du Parc Normandie-Maine - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes sur le territoire du Parc : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives. En savoir plus sur les données : | et sur les partenaires : .

Informations sur l'espèce

Taille : 9-21mm

Longicorne à antennes courtes et au thorax muni d'une forte épine latérale. Tête étroite ; corps couvert d'une pubescence gris argenté ; élytres avec trois bandes transversales dénudées, sombres et peu nettes.

Facilité d'identification : simple

Confusions possibles : peut éventuellement être confondu avec les trois autres espèces françaises de Rhagium mais celles-ci ont des motifs de coloration plus marqués et la tête renflée dans sa partie postérieure.

Adultes se rencontrant presque toujours sur les arbres hôtes, à savoir le plus souvent des troncs de résineux (Pins, Sapin, Épicea, Cèdre, Mélèze) fraîchement morts. Saproxylique, avec un cycle d'un an, la larve se construit une loge sous l'écorce dans laquelle elle se nymphose. Les adultes passent l’hiver dans cette loge, sortent dès le début du printemps et peuvent être observés jusqu'en juillet, avec un pic d'observation en mai.

Espèce a très large répartition en Eurasie et en Amérique du Nord. Autochtone en France, sa répartition suit celle de ses plantes-hôtes résineuses et l'espèce s'est étendue en plaine depuis longtemps, favorisée par les plantations. L'atlas des longicornes du Massif armoricain (Gouverneur & Guérard, 2011) montre une forte expansion depuis 1980. L'espèce est commune partout et peut se rencontrer en milieu urbain.

Références : Berger P. 2012. Coléoptères Cerambycidae de la faune de France continentale et de Corse. ARE, 664 p.
Gouverneur X. & Guérard P. 2011. Les longicornes armoricains – Atlas des Coléoptères Cerambycidae des départements du Massif armoricain. Invertébrés armoricains, les Cahiers du GRETIA, 7, 224 p.

Source : fiche descriptive, INPN
Non renseigné pour le moment

Répartition actuelle en France métropolitaine

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Répartition mondiale actuelle

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Cerambyx inquisitor Linnaeus, 1758

Observations mensuelles

Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.