Callilepis noctambule

Callilepis nocturna (Linnaeus, 1758)

Classe : Arachnida Ordre : Araneae Famille : Gnaphosidae Genre : Callilepis
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  • 55 observations

  • 3 communes

  • 8 observateurs

  • 3 organismes

  • Première observation
    2003

  • Dernière observation
    2023

Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes sur le territoire du Parc & Géoparc : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives. En savoir plus sur les données et sur les partenaires

Anonymisé - Cherpitel Thomas - Chéreau Loïc - Claisse Mathieu - Courtial Cyril - Devogel Pierre - Maury-caudal Tristan - Petillon Julien

Avertissement : Seul les producteurs et les fournisseurs renseignés dans la base de données sont affichés ci-dessous. Si plusieurs organismes ont contribués à un même jeu de données, ils auront une part égale d'aide à la prospection. Les pourcentages affichés ne sont par conséquent pas cumulables entre eux.

  • PNR et géoparc mondial UNESCO Normandie-Maine
    Participation à 55 Observations
    Part d'aide à la prospection : 100.00 %

    Fiche organisme
  • GRoupe d'ETude des Invertébrés Armoricains (GRETIA)
    Participation à 53 Observations
    Part d'aide à la prospection : 96.36 %

    Fiche organisme
  • Association Faune & Flore de l'Orne (AFFO)
    Participation à 2 Observations
    Part d'aide à la prospection : 3.64 %

    Fiche organisme

Informations espèce

Distribution mondiale :
toute l’Europe

Caractères distinctifs, espèces :
Taille - ♀ : 4-6 mm, ♂ : 3-5 mm.

Le Callilepis possède un corps noir recouvert par endroit des taches de soies claires, dorées, sur tout le céphalothorax et l’avant de l’abdomen, avec deuxfois deux taches, au milieu et à l‘extrémité de l’abdomen. Les pattes sont brunes annelées de noir. En France, il existe trois espèces dans le genre Callilepis. L’observation des pièces génitales est indispensable pour l’identification.

Milieux colonisés :
L’espèce fréquente divers milieux ouverts, plutôt secs, souvent ensoleillés : pelouses, landes, clairières de pinèdes, ...

Chasse :
Son nom est très mal choisi puisqu’il s’agit d’une espèce diurne. On la voit se déplacer aux heures les plus chaudes de la journée. Sa démarche est rapide, un peu saccadée comme celle des fourmis, mais son aspect est bien différent d’une fourmi. Elle construit une loge de soie, sous des pierres, des écorces, pour sa période d’inactivité nocturne. Elle est spécialisée dans la capture des fourmis, ses uniques proies, et peut même s’introduire dans une fourmilière. Elle s’approche de sa proie, la perçoit avec une patte puis la mord rapidement à l’antenne puis s’écarte. Le venin fait alors son effet, la victime tourne en rond puis, en moins d’une minute, reste sur place. L’araignée s’approche, mord à nouveau sa victime plus longuement puis entraîne sa proie dans sa retraite. Le contenu de la victime sera aspiré, il ne restera que la cuticule intacte.

Développement, cycle :
On observe les adultes au printemps et en été. Le cycle semble annuel. La ♀ tisse, sous une pierre, un cocon aplati, de forme arrondie, semblable à celui des Zelotes mais blanc. On peut trouver parfois plusieurs cocons au même endroit. La ♀ ne reste pas à leur côté pour les garder.

Source : fiche descriptive, INPN

Non renseigné pour le moment

Répartition actuelle en France métropolitaine

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Répartition actuelle dans le monde

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Aranea nocturna Linnaeus, 1758 |

Observations mensuelles

Avertissement : Les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.