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  • 20 observations

  • 8 communes

  • 4 observateurs

  • 4 organismes

  • Première observation
    1997

  • Dernière observation
    2022

Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes sur le territoire du Parc & Géoparc : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives. En savoir plus sur les données et sur les partenaires

Ameline Michel - Anonymisé - Cpns - Crocis Julien

Avertissement : Seul les producteurs et les fournisseurs renseignés dans la base de données sont affichés ci-dessous. Si plusieurs organismes ont contribués à un même jeu de données, ils auront une part égale d'aide à la prospection. Les pourcentages affichés ne sont par conséquent pas cumulables entre eux.

  • PNR et géoparc mondial UNESCO Normandie-Maine
    Participation à 19 Observations
    Part d'aide à la prospection : 95.00 %

    Fiche organisme
  • Association Faune & Flore de l'Orne (AFFO)
    Participation à 8 Observations
    Part d'aide à la prospection : 40.00 %

    Fiche organisme
  • GRoupe d'ETude des Invertébrés Armoricains (GRETIA)
    Participation à 1 Observation
    Part d'aide à la prospection : 5.00 %

    Fiche organisme
  • Conseil départemental de l'Orne (bureau ENS)
    Participation à 1 Observation
    Part d'aide à la prospection : 5.00 %

    Fiche organisme

Informations espèce

Taille : 25-30 mm

Diagnose :
C’est la plus grande Cétoine de France. Le corps est de couleur brun-noir rarement roux, à reflets métalliques avec quelques rares soies pâles en dessus. La tête est fortement creusée en arrière avec deux tubercules saillants au niveau de l’insertion des antennes. Les femelles ont une tête plus plane. Le disque du pronotum est marqué de deux gros bourrelets longitudinaux (caractère moins marqué chez les femelles) délimitant un large sillon médian.

Détermination :
facile

Période d’observation :
On peut observer l’adulte aux heures les plus chaudes de fin juin à fin août.

Biologie-éthologie :
Le développement larvaire se déroule généralement dans de grandes cavités avec un fort volume de carie (supérieur à 10 litres). Les larves d’Osmoderma eremita sont saproxylophages. Elles consomment le bois mort peu attaqué par les champignons et les bactéries sur le pourtour de cavités cariées. On peut les rencontrer sur un grand nombre de feuillus des genres Quercus, Castanea, Salix, Prunus, Malus. Elles ont été aussi observées sur If (Taxus baccata) dans la forêt de la Sainte-Baume (Var) et sur de vieux platanes en Provence. Les imagos ont une activité principalement crépusculaire et nocturne mais peuvent être observés au cours des journées les plus chaudes et orageuses. Ils restent une grande partie de leur vie dans la cavité où s’est déroulé le développement larvaire. La durée du cycle de développement de cette espèce est de deux ans.

Biogéographie et écologie :
Toute l’Europe septentrionale et centrale, au sud jusqu’au Péloponèse.

Source : fiche descriptive, INPN

G1 : Forêts de feuillus caducifoliés
G2 : Forêts de feuillus sempervirents
X09 : Pâturages boisés (avec une strate arborée recouvrant le pâturage)

Répartition actuelle en France métropolitaine

© INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.

Répartition actuelle dans le monde

Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau mondial : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.

Scarabaeus eremitus Scopoli, 1763

Observations mensuelles

Avertissement : Les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.