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  • 4 observations

  • 4 communes

  • 4 observateurs

  • 4 organismes

  • Première observation
    2011

  • Dernière observation
    2021

Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes sur le territoire du Parc & Géoparc : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives. En savoir plus sur les données et sur les partenaires

2011-2012. Données De Terrain. - Anonymisé - Gargatte Jean-louis - Roche Michaël

Avertissement : Seul les producteurs et les fournisseurs renseignés dans la base de données sont affichés ci-dessous. Si plusieurs organismes ont contribués à un même jeu de données, ils auront une part égale d'aide à la prospection. Les pourcentages affichés ne sont par conséquent pas cumulables entre eux.

  • Conservatoire d'espaces naturels des Pays de la Loire (CEN PDL)
    Participation à 2 Observations
    Part d'aide à la prospection : 50.00 %

    Fiche organisme
  • Ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires
    Participation à 1 Observation
    Part d'aide à la prospection : 25.00 %

    Fiche organisme
  • PNR et géoparc mondial UNESCO Normandie-Maine
    Participation à 1 Observation
    Part d'aide à la prospection : 25.00 %

    Fiche organisme
  • GRoupe d'ETude des Invertébrés Armoricains (GRETIA)
    Participation à 1 Observation
    Part d'aide à la prospection : 25.00 %

    Fiche organisme

Informations espèce

Taille/poids :
Envergure : 28 - 40 mm.

Diagnose :
Couleur de fond de l'aile antérieure brun-ocre cuivrée avec un liseré brun-rouille à la base des franges ; lignes basale et post-basale légèrement sinueuses ; ligne post-discale oblique, rectiligne et coudée à angle droit près de la côte, bordée extérieurement par une plage claire ; orbiculaire et réniforme délimitées par un liseré brun-rouille ; nervures surlignées d'écailles sombres. Aile postérieure de couleur jaunâtre avec les nervures surlignées d'écailles sombres ; ligne post-discale parallèle au bord de l'aile et tache discale s'apparentant le plus souvent à une ombre diffuse plus ou moins visible.

Détermination :
L'adulte, bien que caractéristique, demande un examen attentif.

Espèces proches :
En France métropolitaine, l'espèce ressemble à Hydraecia petasitis (Noctuelle du Grand-Taconnet). Néanmoins cette dernière a une plus grande envergure 41-51 mm. De plus le fond de l'aile est brun foncé alors que pour Hydraecia micacea il est brun cuivré.

Période d’observation :
Les adultes volent de fin-juin à début octobre.

Biologie-éthologie :
Cette espèce a une génération étalée par an. L'adulte est nocturne. La chenille, polyphage, se nourrit des feuilles puis des racines des plantes basses de milieux humides comme Typha latifolia, Phragmites communis, Polygonum spp., Rumex spp., Humulus lupulus, etc.

Biogéographique et écologie :
Eurasiatique, cette espèce est présente de l'Irlande à la péninsule ibérique jusqu'au Japon, puis sur le continent Nord-américain où elle y a été introduite. Hygrophile, Hydraecia micacea vit dans les prairies humides, les marais et les tourbières. Cette espèce vit à l'étage collinéen.

D'après :
Zilli A., Ronkay L. & Fibiger M., 2005. Noctuidae Europaeae, Apameni. Entomological Press Soro, Danemark, volume 8, 323 pp.

Source : fiche descriptive, INPN

D : Tourbières hautes et bas-marais

Répartition actuelle en France métropolitaine

© INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.

Répartition actuelle dans le monde

Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau mondial : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.

Hydroecia micacea (Esper, 1789) | Phalaena micacea Esper, 1789

Observations mensuelles

Avertissement : Les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.