• 9
    observations

  • 5
    communes

  • 3
    sources

  • Première observation
    2019

  • Dernière observation
    2023
CPIE Mayenne - Bas-Maine - Habitants-bénévoles - PNR Normandie-Maine

Cartographie issue du Parc Normandie-Maine - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes sur le territoire du Parc : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives. En savoir plus sur les données : | et sur les partenaires : .

Informations sur l'espèce

Taille :
Moyenne, 10 à 12mm.

Diagnose :
Le genre Eristalinus se reconnaît très facilement grâce à ses yeux tâchés. Sur les antennes, l’arista ne comporte pas de longs poils et la nervation de l’aile est un caractère important avec la nervure radiale 4+5 très sinueuse et la première cellule radiale fermée. Cette espèce diffère des autres par son corps entièrement noir. Les mâles ont les yeux coalescents ce qui permet de les distinguer d’Eristalinus sepluchralis. Pour les femelles il faut se référer à la pilosité des yeux (assez courte et limitée dans le tiers supérieur de l’œil), la couleur des poils du scutellum (tous clairs chez cette espèce) et la taille (souvent plus grosse).

Facilité d'identification :
Très facile chez les mâles et pouvant se faire sur photo, elle s’avère plus complexe chez les femelles et nécessite un examen à la loupe binoculaire.

Confusions possibles :
Possibilité de confusion avec Eristalinus sepulchralis.

Période de vol :
Les adultes sont principalement visibles entre avril et septembre voire un peu plus tard en région méditerranéenne. Les adultes passent l’hiver et se reproduisent au printemps.

Répartition générale :
C’est une espèce cosmopolite, elle est présente dans toute l’Europe ainsi que sur la plupart de l’Afrique. En Asie on la retrouve dans toute sa partie sud et le long de la cote pacifique. Elle est également présente en Australie et en Nouvelle-Zélande ainsi qu’en Amérique du Nord.

Habitat et biologie :
On la rencontre principalement dans les zones humides. Elle est notamment présente dans les marais, les lacs côtiers, les mares, les rivières à faible courant, les canaux d’irrigation… Les adultes sont souvent visibles sur des zones bien dégagées au soleil (galets, rochers, feuillage). Les mâles sont très territoriaux et volent bruyamment pour défendre leur territoire. Les larves sont aquatiques et filtrent les matières organiques dans l’eau. Elles peuvent aussi se nourrir de matières fécales dans les fosses à lisiers.

Speight, M.C.D. (2020) Species accounts of European Syrphidae, 2020. Syrph the Net, the database of European Syrphidae (Diptera), vol. 104, 314 pp., Syrph the Net publications, Dublin.

Source : fiche descriptive, INPN
Non renseigné pour le moment

Répartition actuelle en France métropolitaine

Cartographie issue de l'INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.

Répartition mondiale actuelle

Cartographie issue du GBIF (2021) - Avertissement : les données visualisables sont issues d'une recherche du taxon dans la base du GBIF : ce résultat peut être imparfait. Ces données reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau mondial : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.

Conops aeneus Scopoli, 1763
Conops stygius Newman, 1835
Eristalis aenea (Scopoli, 1763)
Eristalis aenescens Macquart, 1842
Eristalis aeneus (Scopoli, 1763)
Eristalis concolor Philippi, 1865
Eristalis cuprovittatus Wiedemann, 1830
Eristalis sincerus Harris, 1841
Eristalis taphicus Wiedemann, 1830
Lathyrophthalmus nigrolineatus Herve-Bazin, 1923
Musca macrophthalma Preyssler, 1791
Musca ochroleuca Gmelin, 1790
Syrphus auricalcicus Rondani, 1865

Observations mensuelles

Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.