• 2
    observations

  • 1
    commune

  • 2
    sources

  • Première observation
    2017

  • Dernière observation
    2019
GRoupe d'ETude des Invertébrés Armoricains (GRETIA) - PNR Normandie-Maine

Cartographie issue du Parc Normandie-Maine - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes sur le territoire du Parc : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives. En savoir plus sur les données : | et sur les partenaires : .

Informations sur l'espèce

Distribution mondiale :
toute l’Europe

Caractères distinctifs, espèces :
Taille - ♀ : 10-15 mm, ♂ : 8-12 mm.

La couleur est jaunâtre, le céphalothorax plus orangé et les chélicères du mâle, particulièrement développés, rougeâtres à extrémité noire. Les yeux sont de type nocturne, en deux rangées rétroversées de quatre. Le céphalothorax est dépourvu de strie thoracique. Le genre Cheiracanthium comprend quinze espèces en France. L’observation des pièces génitales est indispensable pour l’identification des espèces mais C. punctorium est la plus commune en automne.

Milieux colonisés :
Milieux herbacés, pelouses, friches, landes, sous-bois.

Chasse :
Elle tisse pour la journée une coque d’habitation de soie fine en hauteur dans la végétation herbacée. L’araignée la quitte pour chasser la nuit, principalement peu avant et pendant le lever du soleil. Cette chasse a lieu surtout sur la végétation des strates herbacée et arbustive.

Développement, cycle :
Les adultes apparaissent en juillet, les femelles sont présentes jusqu’à l’hiver. Le cycle est annuel. On trouve plutôt en fin d’été les deux sexes, ensemble dans une coque. Puis la ♀ reste seule et pond plus d’une centaine d’œufs. La ♀ reste le plus souvent avec les jeunes jusqu’à l’hiver, où il n’est pas rare de la trouver ensuite morte dans la coque (son nom vient de ce comportement, Chiracanthe nourrice : C. nutrix = C. punctorium ). Lorsqu’elle est dans sa coque, et encore plus souvent lorsque les deux sexes sont ensemble, l’araignée n’hésite pas à attaquer ceux qui la dérangent : d’où quelques morsures d’imprudents dont quelques arachnologues. Le ♂ qui possède de grandes chélicères, les utilise activement si on lui présente un crayon par exemple. La morsure est douloureuse pour l’homme et peut ne disparaître qu’après plusieurs jours.

Source : fiche descriptive, INPN
Non renseigné pour le moment

Répartition actuelle en France métropolitaine

Cartographie issue de l'INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.

Répartition mondiale actuelle

Cartographie issue du GBIF (2021) - Avertissement : les données visualisables sont issues d'une recherche du taxon dans la base du GBIF : ce résultat peut être imparfait. Ces données reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau mondial : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.

Aranea punctoria Villers, 1789
Chiracanthium punctorium (Villiers)

Observations mensuelles

Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.