• 793
    observations

  • 99
    communes

  • 26
    sources

  • Première observation
    1980

  • Dernière observation
    2024

Aillières-Beauvoir - Alençon - Ancinnes - Argentan - Assé-le-Boisne - Athis-Val de Rouvre - Aunay-les-Bois - Bagnoles de l'Orne Normandie - Beauvain - Boischampré - Boitron - Boulay-les-Ifs - Carrouges - Ceaucé - Chahains - Champfrémont - Champsecret - Coulonges-sur-Sarthe - Crissé - Domfront en Poiraie - Dompierre - Écouves - Essay - Francheville - Gandelain - Ger - Hauterive - Héloup - Joué-du-Bois - Juvigny Val d'Andaine - La Chapelle-près-Sées - La Coulonche - La Ferrière-Béchet - La Ferrière-Bochard - La Ferté Macé - Lalacelle - La Lande-de-Goult - Laleu - Lassay-les-Châteaux - Le Bouillon - Le Cercueil - Le Mêle-sur-Sarthe - Le Ménil-Broût - Les Aulneaux - Les Monts d'Andaine - Les Ventes-de-Bourse - Lignières-Orgères - Lonlay-l'Abbaye - L'Orée-d'Écouves - Magny-le-Désert - Mantilly - Marchemaisons - Ménil-Erreux - Mieuxcé - Mont-Saint-Jean - Mortrée - Neauphe-sous-Essai - Neufchâtel-en-Saosnois - Neuilly-le-Vendin - Passais Villages - Perrou - Pezé-le-Robert - Pré-en-Pail-Saint-Samson - Rânes - Rives d'Andaine - Rouessé-Vassé - Rouperroux - Saint-Aubin-d'Appenai - Saint-Bômer-les-Forges - Saint-Brice - Saint-Calais-du-Désert - Saint-Céneri-le-Gérei - Saint-Cyr-en-Pail - Saint-Denis-sur-Sarthon - Sainte-Marguerite-de-Carrouges - Saint-Fraimbault - Saint-Georges-de-Rouelley - Saint-Gervais-du-Perron - Saint-Léger-sur-Sarthe - Saint-Léonard-des-Bois - Saint-Longis - Saint-Mars-d'Égrenne - Saint-Martin-des-Landes - Saint-Martin-l'Aiguillon - Saint-Nicolas-des-Bois - Saint-Ouen-le-Brisoult - Saint-Patrice-du-Désert - Saint-Paul-le-Gaultier - Saint-Pierre-des-Nids - Saint-Rémy-du-Val - Saint-Roch-sur-Égrenne - Saint-Sauveur-de-Carrouges - Sées - Sillé-le-Guillaume - Tanville - Tessé-Froulay - Villeneuve-en-Perseigne - Villepail - Vimartin-sur-Orthe

Association Faune & Flore de l'Orne (AFFO) - Biotope - Bureau ENS (Conseil départemental de l'Orne) - Bureaux d'études & consultants - CHOLET Joachim - CPIE Collines normandes - Conservatoire d'espaces naturels de Midi-Pyrénées (CEN MP) - DELCLOY Cédric - Eole Champagne Conlinoise - Groupe Ornithologique Normand (GONm) - Habitants-bénévoles - Institut national de l'information géographique et forestière (IGN) - LE GOÏC Matthieu - LE MARQUER Alain - LPO France - LPO Sarthe - Mayenne Nature Environnement (MNE) - Muséum national d'Histoire naturelle (MNHN) - Noé (association de défense de l'environnement) - Office Français de la Biodiversité (OFB) - PNR Normandie-Maine - Parc Éolien des Avaloirs - Peter Stallegger (Consultant Environnement) - SPIROUX Philipe - UMS PatriNat (OFB-CNRS-MNHN) - Vigie Nature

Cartographie issue du Parc Normandie-Maine - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes sur le territoire du Parc : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives. En savoir plus sur les données : | et sur les partenaires : .

Informations sur l'espèce

Taille/poids :
Longueur 21 cm, envergure 35 cm, poids moyen 75 g.

Diagnose :
Brune, poitrine finement tachetée sur fond clair, absence de sourcils.

Détermination :
Son chant clair et sonore est reconnaissable à son rythme alerte, à la répétition des motifs et à la diversité des strophes (il appartient à la catégorie des émissions vocales complexes, variées et inventives). Chaque chanteur possède son propre répertoire pouvant inclure des imitations : ainsi le chant peut dans une certaine mesure refléter l’habitat de l’oiseau (exemples : imitations de cris de limicoles par des grives chantant au bord des étangs, imitation de sonneries de téléphone en milieu urbain).

https://inpn.mnhn.fr/jeux/oiseaux/listen/emissions_vocales_complexes_variees_inventives/4129

Biologie-éthologie :
La Grive musicienne apprécie la fraîcheur des bois, forêts et bocages. Comme le Merle noir, elle a su s’adapter aux parcs et jardins urbains, sans toutefois y être aussi commune que ce dernier. Elle se nourrit en grande partie de vers de terre ainsi que d’autres invertébrés (escargots qu’elle casse sur les pierres des chemins, insectes, etc.). Selon la saison elle complète ce régime par des baies et des fruits. Elle commence à chanter en plaine dès le mois de février si le temps le permet, postée bien en vue sur une haute branche.

Biogéographique et écologie :
L’espèce est migratrice partielle : les populations du nord-est de la France sont le plus souvent migratrices alors que celles du reste de la France sont généralement sédentaires, à l’exception des populations d’altitude. Par ailleurs notre pays accueille diverses populations européennes qui ont chacune leurs régions de prédilection pour y passer l’hiver.

Source : fiche descriptive, INPN
G1 : Forêts de feuillus caducifoliés
G2 : Forêts de feuillus sempervirents
G3 : Forêts de conifères
I2 : Zones cultivées des jardins et des parcs
X10 : Bocages

Source : Habitat(s) lié(s) au taxon - Habref (EUNIS 2012), INPN

Répartition actuelle en France métropolitaine

Cartographie issue de l'INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.

Répartition mondiale actuelle

Cartographie issue du GBIF (2021) - Avertissement : les données visualisables sont issues d'une recherche du taxon dans la base du GBIF : ce résultat peut être imparfait. Ces données reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau mondial : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.

Turdus ericetorum Turton, 1807
Turdus philomelos clarkei Hartert, 1909
Turdus philomelos philomelos Brehm, 1831

Observations mensuelles

Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.